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Tutoriel pas à pas pour peindre le char soviétique T-54 (modèle 1951) échelle 1:35 de chez Miniart référence 37007.
Le modèle est livré dans la boîte MiniArt habituelle, remplie à ras bord de plastique. (Une fois que vous avez ouvert les sacs individuels protégeant les pièces, vous aurez des difficultés à tout remettre en place.) Tout est emballé si serré qu'il est probablement peu probable que les pièces se cassent pendant le transport ; Je soupçonne que ce sera une toute autre affaire une fois que vous aurez tout déballé. L'illustration de la boîte montre le char dans un environnement urbain en ruine ; peut-être à Budapest lors du soulèvement de 1956.
Le modèle est composé d'un total de 1045 pièces, alors disons simplement que ce n'est pas un projet de week-end.
Les instructions sont également celles typiques - et très claires - de MiniArt ; en couleur là où c'est nécessaire, en noir et blanc là où c'est suffisant. Les couleurs sont données dans plusieurs codes de peinture (Mig Ammo, Humbrol, Vallejo, Mr Color), ce qui est toujours utile. Il existe plusieurs options, mais étant un char russe de la guerre froide, elles sont toutes du même vert. Prêt à l'emploi, vous avez la possibilité de construire des versions soviétiques, est-allemandes et irakiennes des années 50 et 60. (Trois sont particulièrement attrayants pour moi personnellement, car ils représentent des chars qui ont été envoyés en Hongrie lors du soulèvement de 1956.)
À l'intérieur de la première page, il y a un ensemble d'images rendues du modèle assemblé, montrant les différentes trappes du compartiment moteur ouvertes, ce qui est très utile si vous décidez de les afficher ouvertes. La seule chose, bien sûr, c'est qu'à part la transmission et le moteur, toute la baie est vide.
Les pièces en plastique suivent la philosophie habituelle de MiniArt : nous avons des pièces qui sont communes avec d'autres versions antérieures, mélangées avec de nouvelles qui font de ce char un T-54-3 spécifique. Cela signifie également qu'il y a BEAUCOUP de petites pièces en plastique, et la recherche de pièces sera un exercice constant de patience pendant la construction.
L'autre problème est - comme d'habitude - le câble de remorquage. Il est présenté sous la forme d'une pièce en plastique droite… qui, à présent, ressemblera à un vrai fil métallique si vous parvenez même à le mettre en place. Vous finirez très probablement par le casser, donc le meilleur conseil que je puisse vous donner est d'utiliser simplement les extrémités et un morceau de fil de suspension (légèrement plus long) en remplacement. Sinon, vous n'aurez pas beaucoup de difficultés avec le montage de cette maquette si vous êtes un modéliste modérément expérimenté avec quelques chars à votre actif ; cela pourrait être une tâche intimidante pour un débutant, cependant. (Il y a une quantité ahurissante de petites pièces en PE, par exemple, qui peut s'avérer être un défi même pour un vétéran chevronné ; Je soupçonne que les laisser de côté ne sera pas très perceptible.)
La première série d'étapes dans les instructions détaille l'assemblage du moteur. Le moteur est un petit modèle en soi ; il est incroyablement détaillé et une grande partie sera cachée une fois installé. Quoi qu'il en soit, si vous souhaitez afficher le moteur, il vaut la peine de regarder quelques photos de référence, car l'ajout des câbles en fera un modèle vraiment exceptionnel.
Les prochaines étapes détaillent l'assemblage de la suspension à barre de torsion fonctionnelle et du bas de la coque. C'est là que vous devrez prendre votre première décision, car vous avez la possibilité d'ajouter les points de montage de l'équipement de bulldozer/déminage à la plaque avant inférieure. (Ils sont également mis en évidence dans le guide de peinture avec des flèches rouges sur les versions particulières qui les portaient.)
L'intérieur de la coque est assez similaire aux versions précédentes avec quelques différences mineures. Le compartiment du conducteur est quelque peu clairsemé en détail; à l'aide de photos historiques, il devrait être relativement facile de le remplir d'interrupteurs et de câbles. Il n'y a pas de tableau de bord pour le conducteur inclus ; cela devrait être assis sur son côté droit. (L'intérieur du compartiment du conducteur CMK pourrait être utilisé pour «renforcer» le modèle car il a un très joli PE coloré; bien que je ne sois pas sûr de la différence du tableau de bord dans le T-55A.)
Il est intéressant de noter que l'assemblage de la transmission ne vient qu'une fois les côtés terminés et que le moteur est prêt à être monté à l'intérieur du véhicule, à l'étape 22. Il y a une chose supplémentaire à l'intérieur que le T-54-1 n'avait pas : le pré- unité de chauffage pour le système de refroidissement du moteur (étape 24). Cela semble beaucoup mieux détaillé que la version en résine CMK pour le T-55A.
La coque inférieure avec le train de roulement est terminée au cours des prochaines étapes, jusqu'à ce que nous atteignions les ailes / garde-boue à l'étape 40. Les réservoirs de carburant externes ont les conduites de carburant installées, ce qui est un ajout agréable et très bienvenu après des heures de réflexion technique. dessins quand j'ai essayé de façonner ces lignes pour le Tamiya T-55. Le seul problème est l'épaisseur des pièces en plastique; il serait peut-être préférable d'utiliser des remplacements de fil. Le log de décrochage est en fait très bien fait, et très convaincant ; Je le remplace généralement par de vrais bâtons en bois, mais dans ce cas, c'est une pièce parfaitement réalisée.
Eh bien, c'est à peu près tout. La construction est très similaire aux constructions de kits intérieurs T-54-1 et T-54-2, donc si vous avez de l'expérience avec celles-ci, vous savez ce que vous recherchez pour celui-ci. Le modèle est précis et très bien détaillé, mais l'assemblage est long. L'intérieur est un excellent ajout, mais vous pouvez affirmer que la majeure partie est cachée; s'il est vrai que si vous construisez le char tel qu'il est, il existe énormément d'opportunités de représenter un char déteruit ou non - qui, compte tenu de sa longue histoire, convient parfaitement à de nombreux environnements. (Guerre Irak-Iran, soulèvement de 1956 en Hongrie, plusieurs conflits africains, etc.)
Dans l'ensemble, c'est un kit très bien fait, mais très difficile aussi. Il serait intéressant de le comparer aux offres Takom T-54 en termes de détails et de complexité.
Laissons place au photos.
Les chenilles sont superbes et ont des détails très fins - même les numéros de casting sont présents. Vous aurez besoin de 90 pour chaque côté (le vrai tank en avait 91 selon ce que j'ai lu), et pour être honnête, le nettoyage et l'assemblage sont probablement la partie la moins appréciée du processus de construction.
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